Les principes internationaux sont des fondements qui réglementent les relations entre deux ou plusieurs États. Ils sont conçus pour faciliter les relations étatiques et les relations entre certains hommes de droit international. Quels sont donc ces fondements ou principes qui régissent les rapports entre les hommes d’État ? Hâtez-vous de lire ce contenu pour les découvrir.
Le principe de la souveraineté
Les droits internationaux ont des principes fondamentaux qui sont déclinés sur le site internet http://avocat-montpellier.fr/. Celui de la souveraineté du dirigeant en est le premier. Le principe de la souveraineté octroie à chaque dirigeant étatique, un pouvoir absolu à l’interne. Il est appelé à organiser la vie de son pays comme il l’entend. Quoique certaines institutions internationales ne partagent pas ses points de vue, il a l’entière liberté d’agir comme il l’entend. Toutefois, cette suprématie de l’homme d’État est exclusive. Mieux, il a autorité uniquement sur sa propre population et ses sujets. À l’interne, le chef d’État est libre de diriger son économie, sa politique et sa société sans être perturbé. Les critiques et les considérations internationales ne sont en aucun cas, des contraintes pour lui.
Le principe de la tolérance ou de l’interdiction de la discrimination
La tolérance est aussi un principe essentiel et basique qui régit les rapports entre les États. Le principe de la tolérance oblige tous les États à traiter avec égard, déférence et droiture, tous les êtres humains. Mieux, aucune politique interne ne doit favoriser la discrimination. Il existe plusieurs types de discrimination. En voici quelques-unes :
- La discrimination raciale ;
- La discrimination nationale ;
- La discrimination de religion.
Aucun pays ne doit favoriser une tierce partie de sa population, en raison d’une quelconque différence. Lorsqu’il néglige une quelconque partie au profit d’une autre, il s’oppose au principe de la tolérance.
Le principe de la non-ingérence dans les affaires internes
La non-ingérence dans les affaires internes des pays est aussi un fondement principal. En effet, ce principe interdit à tous les Etats, l’intervention dans la gestion des affaires d’un pays, autre que le tien. Les situations qui attirent souvent l’attention des autres États sont d’ordre politique, militaire et économique. Quelle que soit la situation que traverse un État, son chef d’État est appelé à assurer et assumer son entière responsabilité. Le principe de la non-ingérence permet à chaque pays de se concentrer sur ses affaires. De plus, il confirme le pouvoir de la souveraineté de chaque chef d’État.
Le principe de la non-violation des frontières
Tous les pays possèdent des frontières. Elles méritent d’être reconnues à l’international et d’être respectées. À aucun moment, les frontières internationales d’un pays ne seront franchisées ou envahies sans le consentement de ce dernier. Si elles sont reconnues à l’internationale, le principe des frontières oblige tous les pays à les traiter comme inviolables. Par ailleurs, il n’est admis à aucun pays de modifier volontairement les limites de ses frontières.
Le principe des obligations humanitaires
Tous les pays sont appelés à se plier aux obligations humanitaires. Pendant des situations de guerre ou de conflits, plusieurs populations sont victimes des effets des confrontations. Elles sont exposées aux effets nocifs des affrontements et ne peuvent subvenir à leurs besoins fondamentaux. Lorsque surviennent ces conflits, tous les pays sont contraints à protéger les populations victimes. Ils apportent donc des aides humanitaires à ces populations, afin de leur garantir la sécurité.